Prise
d’acte de rupture et circonstances
brusques
et vexatoires
Dans un arrêt
du
16 mars 2010, la Cour de cassation rappelle que la prise d’acte de
rupture du contrat de travail qui intervient à l’initiative du salarié
n’empêche
pas l’octroi de dommages et intérêts, s’il établit qu’il a été contraint
de
rompre son contrat de travail en raison de circonstances brusques et
vexatoires.
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